Une entrée fracassante en littérature. » Augustin Trapenard, La Grande Librairie « Ce que je veux moi, c'est porter le prénom que j'ai reçu à la naissance. Sans le cacher, sans le maquiller, sans le modifier. Sans en avoir peur. » Elle est née Polina, en France elle devient Pauline. Polina en URSS, Pauline à Saint-Étienne. Elle se dédouble. D'un côté, la Russie de l'enfance, celle de la datcha, de l'appartement communautaire où les générations se mélangent, celle des grands-parents inoubliables et de Tiotia Nina.